Etre Amoureux...
Il y à l'amour qui se fait doucement, les yeux dans les yeux, où toute la tendresse du monde semble s'être réunie. Et si pas la tendresse de tous, au moins la notre à tous les deux.
L'amour qui se fait lentement, presque imperceptiblement,et qui peut durer des heures, presque immobiles, imbriqués l'un dans l'autre.
Les "je t'aime" qui se lancent dans les yeux, ou se murmurent à l'oreille. Et les promesses de "pour longtemps encore" parce que toujours ça nous semblerait un peu trop loin, trop grand. Ces moments où je ne peux pas m'empêcher d'avoir les larmes aux yeux, juste parce qu'à cet instant je suis persuadée que c'est pour toujours. Persuadée que jamais il n'y aura mieux. Que ça ne pourra pas changer. ou alors, c'est que le monde n'est vraiment pas fait pour moi... Cet amour qui donne des certitudes, et tue les doutes. Parce que vraiment, personne ne le fait comme ça, sans aimer très fort. A ces moments là, je le sais, je le sens, qu'il m'aime. De la racine de mes cheveux jusqu'au bout de mes orteils. Je le sais. Je le ressens. Cet amour là me chatouille le ventre rien qu'à y repenser. Il me pince le coeur aussi. Je voudrais être encore hier soir... Et que ça ne ce soit pas fini. Quand je ferme les yeux, j'y suis encore, sa douceur, son odeur et ses mots dans les oreilles. Ses doigts dans mes cheveux, ses lèvres dans mon cou. Et le regarder, s'accrocher aux lueurs de plaisir qui passent dans nos yeux...
Il y à l'amour passion. Où les corps décident de tout. Où les corps sont tout.
C'est l'amour qui se prend, qui se donne et qui fait mal au ventre quand on s'en rappelle. Qui fait rougir au réveil, quand on se souvient de toutes les audaces. C'est l'envie de dire "prends-moi" sans que ça n'ait rien de vulgaire. C'est l'envie de force, de quelque chose d'un peu sauvage.C'est un reste animal, sans doute. Le besoin de n'être plus que ça. Envie et plaisir. C'est la pensée qui dépasse les mots. C'est l'amour qui fait crier. Il suffit d'être heureuse, dans les bras d'son homme, pour que tout soit beau.
Pour que ce qui me semble si laid, si sale dans la bouche de certaines filles qui se font sauter dans un coin, le soir, par des inconnus m'apparaisse merveille...
Et puis il y à celle qui me dit que cela n'aura jamais que l'importance qu'on lui donne. Qu'accorder de la considération au sexe est stupide. Qu'y mettre tout son coeur, une connerie magistrale.
Que ça ne reste qu'une partie de jambes en l'air où le coeur n'a pas sa place. Où le coeur n'aura jamais sa place, quoi que j'en dise. Elle parle en connaissance de cause.
Mais moi... Je m'en fous, qu'elle ai tort ou raison. Je la plains seulement, elle a du trouver ça beau, un jour. Il a sans doute fallu que quelqu'un fiche tout par terre...
Si ça n'a que l'importance que je daigne lui accorder, alors, je pense bien, que... C'est quelque chose de fabuleux. on ne m'a pas encore abîmé cette certitude (juste un peu écorché!). Je doute qu'on ne me la piétinne pas un jour. Mais ce jour là est encore loin, je crois. Et si les gens deviennent tristes à ne plus y croire, je vais m'y perdre encore plus. Tant que je le peux encore... S'il est vrai que tout le monde oublie ce que ça fait, de croire aux soupirs et aux "je t'aime". J'suis pleine de morceaux de rêves, moi. J'en ai perdu quelques uns, à force de vivre. Mais... Il m'en reste encore tellement... Que je ne vais pas les gâcher...
L'amour qui se fait lentement, presque imperceptiblement,et qui peut durer des heures, presque immobiles, imbriqués l'un dans l'autre.
Les "je t'aime" qui se lancent dans les yeux, ou se murmurent à l'oreille. Et les promesses de "pour longtemps encore" parce que toujours ça nous semblerait un peu trop loin, trop grand. Ces moments où je ne peux pas m'empêcher d'avoir les larmes aux yeux, juste parce qu'à cet instant je suis persuadée que c'est pour toujours. Persuadée que jamais il n'y aura mieux. Que ça ne pourra pas changer. ou alors, c'est que le monde n'est vraiment pas fait pour moi... Cet amour qui donne des certitudes, et tue les doutes. Parce que vraiment, personne ne le fait comme ça, sans aimer très fort. A ces moments là, je le sais, je le sens, qu'il m'aime. De la racine de mes cheveux jusqu'au bout de mes orteils. Je le sais. Je le ressens. Cet amour là me chatouille le ventre rien qu'à y repenser. Il me pince le coeur aussi. Je voudrais être encore hier soir... Et que ça ne ce soit pas fini. Quand je ferme les yeux, j'y suis encore, sa douceur, son odeur et ses mots dans les oreilles. Ses doigts dans mes cheveux, ses lèvres dans mon cou. Et le regarder, s'accrocher aux lueurs de plaisir qui passent dans nos yeux...
Il y à l'amour passion. Où les corps décident de tout. Où les corps sont tout.
C'est l'amour qui se prend, qui se donne et qui fait mal au ventre quand on s'en rappelle. Qui fait rougir au réveil, quand on se souvient de toutes les audaces. C'est l'envie de dire "prends-moi" sans que ça n'ait rien de vulgaire. C'est l'envie de force, de quelque chose d'un peu sauvage.C'est un reste animal, sans doute. Le besoin de n'être plus que ça. Envie et plaisir. C'est la pensée qui dépasse les mots. C'est l'amour qui fait crier. Il suffit d'être heureuse, dans les bras d'son homme, pour que tout soit beau.
Pour que ce qui me semble si laid, si sale dans la bouche de certaines filles qui se font sauter dans un coin, le soir, par des inconnus m'apparaisse merveille...
Et puis il y à celle qui me dit que cela n'aura jamais que l'importance qu'on lui donne. Qu'accorder de la considération au sexe est stupide. Qu'y mettre tout son coeur, une connerie magistrale.
Que ça ne reste qu'une partie de jambes en l'air où le coeur n'a pas sa place. Où le coeur n'aura jamais sa place, quoi que j'en dise. Elle parle en connaissance de cause.
Mais moi... Je m'en fous, qu'elle ai tort ou raison. Je la plains seulement, elle a du trouver ça beau, un jour. Il a sans doute fallu que quelqu'un fiche tout par terre...
Si ça n'a que l'importance que je daigne lui accorder, alors, je pense bien, que... C'est quelque chose de fabuleux. on ne m'a pas encore abîmé cette certitude (juste un peu écorché!). Je doute qu'on ne me la piétinne pas un jour. Mais ce jour là est encore loin, je crois. Et si les gens deviennent tristes à ne plus y croire, je vais m'y perdre encore plus. Tant que je le peux encore... S'il est vrai que tout le monde oublie ce que ça fait, de croire aux soupirs et aux "je t'aime". J'suis pleine de morceaux de rêves, moi. J'en ai perdu quelques uns, à force de vivre. Mais... Il m'en reste encore tellement... Que je ne vais pas les gâcher...